jeudi 25 janvier 2018

"
"Jeux de séduction "
50 X 50
La séduction ,ce n'est pas qu'une affaire de rencontre et d'amour naissant.
Aimer plaire et charmer sans suivre de mode d'emploi puisque nous sommes tous unique.
Les petits riens qui font tout... ou le défont .

mercredi 24 janvier 2018

" S' enlacer "
40 X 40
Étreindre, entrelacer, lier ...
Se tenir par la main, s'enlacer, ne pas se lasser .
Juste se lacer pour une balade.
Belle après midi à vous .


dimanche 21 janvier 2018

" Rock n roll attitude "
50 X 50
Me Freud m'a écrit du féminin qui ne se laisse pas marcher sur les pieds !
ça dépote !oui c'est ça .
Je viens de découvrir un article de Leïla Slimani prix gongourt 2016  ,je vous le glisse dans ce blog , j'ai continué ma lecture avec Kamel Daoud
Vision juste très juste.
Voici celui de Leïla 
Marcher dans la rue. Prendre le métro le soir. Mettre une minijupe, un décolleté et de hauts talons. Danser seule au milieu de la piste. Me maquiller comme un camion volé. Prendre un taxi en étant un peu ivre. M’allonger dans l’herbe à moitié dénudée. Faire du stop. Monter dans un Noctambus. Voyager seule. Boire seule un verre en terrasse. Courir sur un chemin désert. Attendre sur un banc. Draguer un homme, changer d’avis et passer mon chemin. Me fondre dans la foule du RER. Travailler la nuit. Allaiter mon enfant en public. Réclamer une augmentation. Dans ces moments de la vie, quotidiens et banals, je réclame le droit de ne pas être importunée. Le droit de ne même pas y penser.
 Je revendique ma liberté à ce qu’on ne commente pas mon attitude, mes vêtements, ma démarche, la forme de mes fesses, la taille de mes seins. Je revendique mon droit à la tranquillité, à la solitude, le droit de m’avancer sans avoir peur. Je ne veux pas seulement d’une liberté intérieure. Je veux la liberté de vivre dehors, à l’air libre, dans un monde qui est aussi un peu à moi. 
Je ne suis pas une petite chose fragile. Je ne réclame pas d’être protégée mais de faire valoir mes droits à la sécurité et au respect. Et les hommes ne sont pas, loin s’en faut, tous des porcs. Combien sont-ils, ces dernières semaines, à m’avoir éblouie, étonnée, ravie, par leur capacité à comprendre ce qui est en train de se jouer ? A m’avoir bouleversée par leur volonté de ne plus être complice, de changer le monde, de se libérer, eux aussi, de ces comportements ? Car au fond se cache, derrière cette soi-disant liberté d’importuner, une vision terriblement déterministe du masculin .
 Les hommes qui m’entourent rougissent et s’insurgent de ceux qui m’insultent. De ceux qui éjaculent sur mon manteau à huit heures du matin. Du patron qui me fait comprendre à quoi je devrais mon avancement. Du professeur qui échange une pipe contre un stage. Du passant qui me demande si «je baise» et finit par me traiter de «salope». Les hommes que je connais sont écœurés par cette vision rétrograde de la virilité. Mon fils sera, je l’espère, un homme libre. Libre, non pas d’importuner, mais libre de se définir autrement que comme un prédateur habité par des pulsions incontrôlables. Un homme qui sait séduire par les mille façons merveilleuses qu’ont les hommes de nous séduire.
Je ne suis pas une victime. Mais des millions de femmes le sont. C’est un fait et non un jugement moral ou une essentialisation des femmes. Et en moi, palpite la peur de toutes celles qui, dans les rues de milliers de villes du monde, marchent la tête baissée. Celles qu’on suit, qu’on harcèle, qu’on viole, qu’on insulte, qu’on traite comme des intruses dans les espaces publics. En moi résonne le cri de celles qui se terrent, qui ont honte, des parias qu’on jette à la rue parce qu’elles sont déshonorées. De celles qu’on cache sous de longs voiles noirs parce que leurs corps seraient une invitation à être importunée. Dans les rues du Caire, de New Delhi, de Lima, de Mossoul, de Kinshasa, de Casablanca, les femmes qui marchent s’inquiètent-elles de la disparition de la séduction et de la galanterie ? Ont-elles le droit, elles, de séduire, de choisir, d’importuner ?
J’espère qu’un jour ma fille marchera la nuit dans la rue, en minijupe et en décolleté, qu’elle fera seule le tour du monde, qu’elle prendra le métro à minuit sans avoir peur, sans même y penser. Le monde dans lequel elle vivra alors ne sera pas un monde puritain. Ce sera, j’en suis certaine, un monde plus juste, où l’espace de l’amour, de la jouissance, des jeux de la séduction ne seront que plus beaux et plus amples. A un point qu’on n’imagine même pas encore.

mardi 16 janvier 2018

" La vie en rose "
80 X 80
Nouvelle vie, nouveau départ ou suite simplement d'un chemin qui change de direction...
Draguignan ...peut être !
Je ne sais pas où il sera , mais je souhaite un lieu paisible dédié au partage, aux rencontres.
Il y a des villes, des villages où l'on se sent bien ,et puis d'autres ou l'angoisse vous étreint et vous ne sauriez dire pourquoi, juste ce ne sera jamais là.
Je vous souhaite une belle semaine.
Demain, un rendez-vous important pour moi ...
Regarder ce n'est pas seulement voir c'est observer pour prendre la bonne décision.
Je la veux en rose moi aussi . 

mercredi 10 janvier 2018

" Inspiration "
80 x 80
J'aime ce mot à plusieurs significations.
inspirer, prendre l 'air, le laisser entrer dans nos poumons, une invasion salutaire.
L'affluence d'idées stimulant notre créativité, notre imaginaire ...
Puis l'inspiration divine, mettre son âme sous la lumière sous l'inspiration de dieu .
Incitation, impulsion...
Un mot, trois manières de prendre vie.
Tout à l'heure je pars choisir mon nouveau lieu de vie, galerie, maison ce sera Villefranche de Rouergue ou Cordes sur ciel...

Et puis Draguignan mon idée première ,mais toujours pas de réponse ...
Ce sera un choix difficile.
Je vais sentir, respirer, aspirer ..
 Inspirer je devrais être !    

lundi 8 janvier 2018

"Mes couleurs"
Travailler les peaux plus sombres c 'est juste du bonheur.
Toutes les couleurs que l'on peut rajouter, j'essayerai la même chose avec les peaux plus claires .
beau lundi soyez heureux .

samedi 6 janvier 2018

" Lie moi "
30 X 30
Celui qui unit deux personnes, le lien comme prolongement de soi alimenté par notre histoire en direction de l'histoire de l'autre.
Ici c'est une histoire de soulier, n'en demeure la symbolique .
" les liens invisibles laissent les marques les plus profondes "
Isabelle Sorente Physicienne et romancière .
Je vous souhaite un beau weekend. 

vendredi 5 janvier 2018

" Marcher sur l'eau "
30 x 30
Hihi voilà que je me prend pour le christ !
En 2018 je rêve beaucoup, mais je concrétise, je redonne sa part au réel tout en gardant ma part de rêve .
Je désire, c'est un moyen d'avancer de me fixer des objectifs .
Voilà pourquoi les converses ...Pour aller plus vite ...
Puis c'est mythique quand même, mais pas de panique je reviendrai vite à mes chaussures à talons .
Je vous souhaite une belle journée.

lundi 1 janvier 2018

Que cette nouvelle année soit pour vous, pour moi une année de douceur, de bonheur.
Quelle vous soit un nid douillet ou vous blottir, un chemin choisi sur lequel avancer .
Je vous souhaite du rêve et une bonne santé.    

" Fouiller l'imaginaire"
50 X 50
Se donner le droit aux rêves sans perdre le sens de la réalité .
Je vous embrasse, et vous souhaite une année fantastique .